Bonjour, certains me connaissent d'autres moins, je suis YonL (Lionel de mon vrai prénom), poète et slammeur en région parisienne. J'ai écris un peu, beaucoup et même passionnément depuis l'âge de 9 ans. La Poésie est une maladie dont on ne peut pas guérir, et c'est tant mieux.
vendredi 30 octobre 2015
dimanche 25 octobre 2015
88 Mph (2009)
Nom de Zeus ... On est le 21 Octobre passé, Marty est arrivé...
Pas de route ... il n'y a pas de route
Il nous faut juste une piste pour s'élancer.
Pas de doute... il n'y a pas de doutes
Plus de place pour y repenser.
Laissons les élans s'accélérer
Laissons nos tripes s'ensorceler
L'amour pour opium
On fait le plein de Plutonium
La route ? Quelle route ?
Là où on va on a pas besoin de route...
Attache ta ceinture
Destination ... l'aventure.
Vers l'infini et au delà
Vers le mystère et l'au-delà
Au delà du réel pour repousser ses frontières
Prends ton envol pour le pays imaginaire.
Par un soir calme, au crépuscule,
Sous le soleil couchant et ses lumières diaphanes
Tu seras passagère, ma libellule, de ma De Lorean.
Serrons nous, mettons le contact,
Ma clé, ta serrure, notre pacte,
Allume ma bougie, demande le contact
J'ai ta bouche pour point d'impact.
La passion envahit nos tuyères,
Plus de temps mort, de lendemain, ni d'hier
La route ? ... Il n'y a pas de route
Si ce n'est tes courbes sinueuses
Et la ronde de tes yeux de nébuleuse
Ou la ligne droite que dessine notre étreinte.
Dans le vacarme de notre silence
La De Lorean et son bi-Turbo s'élancent
Notre couple développe 2,21 Gigo-watts
Dans notre cocon serti de ouate.
C'est entre puissance et douceur
Que nous laissons nos coeurs
Se propulser à 88 Miles à l'heure,
Au rythme de l'aventure
Oublions le passé et le futur.
"Outatime", en dehors du temps
...parce que le temps n'est plus à présent,
Faire revivre le passé,
Donner vie au futur
Dans un bal cadencé
Dans un instant pur.
La route ? ... Il n'y a pas de route.
Les doutes ? ...Il n'y a plus de doutes...
L'espace temps n'est plus aux yeux de nos cœurs
Quand on s'aime à 88 Miles à l'heure.
28.7.9
lundi 19 octobre 2015
Le Fou et le Pion (2015)
[Nouveau] Une fable pour tous les amateurs d’échecs
Un fou , un pion, à l'arrière de la Dame
Au moment où toutes les parties s'enflamment
Sont en lutte, s'exécutent, presque se percutent
Le fou veut prendre le pion
Mais le pion n'est pas fou,
La tour le couvre, si le chemin s'ouvre
C'est bien le fou qui se fera prendre
Menacé par les poutres du donjon.
Un fou, un pion, le Roi caché sur sa colonne
Reste impassible, rien ne l'impressionne
Pas même l'enfilade des pions, toujours plus oppressante.
Un fou, un pion, à qui prend-prend
Le fou pend au-dessus, le pion est en frise,
Que fait la cavalerie ? Prudence est de mise
Car si le pion gratte,
Le fou est piqué, ça sent l'échec, et les MAT.
#1093 / 24.8.2015
dimanche 18 octobre 2015
Noir c'est noir (2004)
Pas grand chose de nouveau 9 ans plus tard ... Ah oui changer la fin peut-être...
Noir c'est noir
"Noir c'est noir
Il n'y a plus d'espoir"
Image d'un cauchemar
D'une invasion barbare
Noir comme la mort
Celle qui nous a frappé
Comme un coup d'épée
Pas de place pour les remords
La loi des hommes en noir
S'est faite sentir dès le "haka"
Rongés de trouille et de tracas
Pas de place pour les espoirs
Marée bleue submergée d'une marée noire
Le coq n'a fait que s'embourber
Dans le pétrôle, la crète imbibée
Il s'est pris le ballon ovale en pleine poire
Noir c'est noir
Quinze statues d'ivoire
Ont broyé dans leur entonnoir
Tous les rêves de victoire
Le coq a le bec dans l'eau
Quinze crèpes étalées
Le rouleau compresseur est passé
Il est plumé, quinze balles dans la peau
Noir c'est noir
Et la tarte des "blacks"
Tout le monde samedi soir
Se l'est mangé dans la barbaque
A un an de la grande messe
Au sommet même du ridicule
Criblés de bleus, si notre sang circule
C'est parce qu'on tient encore nos promesses
Mais face aux noirs, on en perd l'espoir
De passer ne serait ce que les éliminatoires
#468 - 13.11.2006
Noir c'est noir
"Noir c'est noir
Il n'y a plus d'espoir"
Image d'un cauchemar
D'une invasion barbare
Noir comme la mort
Celle qui nous a frappé
Comme un coup d'épée
Pas de place pour les remords
La loi des hommes en noir
S'est faite sentir dès le "haka"
Rongés de trouille et de tracas
Pas de place pour les espoirs
Marée bleue submergée d'une marée noire
Le coq n'a fait que s'embourber
Dans le pétrôle, la crète imbibée
Il s'est pris le ballon ovale en pleine poire
Noir c'est noir
Quinze statues d'ivoire
Ont broyé dans leur entonnoir
Tous les rêves de victoire
Le coq a le bec dans l'eau
Quinze crèpes étalées
Le rouleau compresseur est passé
Il est plumé, quinze balles dans la peau
Noir c'est noir
Et la tarte des "blacks"
Tout le monde samedi soir
Se l'est mangé dans la barbaque
A un an de la grande messe
Au sommet même du ridicule
Criblés de bleus, si notre sang circule
C'est parce qu'on tient encore nos promesses
Mais face aux noirs, on en perd l'espoir
De passer ne serait ce que les éliminatoires
#468 - 13.11.2006
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