Bonjour, certains me connaissent d'autres moins, je suis YonL (Lionel de mon vrai prénom), poète et slammeur en région parisienne.
J'ai écris un peu, beaucoup et même passionnément depuis l'âge de 9 ans. La Poésie est une maladie dont on ne peut pas guérir, et c'est tant mieux.
Retrouvez sur Youtube mon 2ème "Album" qui s'appelle "Peluches" , cela parce qu'on m'appelle l'Abominable Homme-Peluche.
C'est un album élaboré à partir de Suno qui a composé pour moi grâce à une IA la bande son, dans des styles variés ... Hard Rock/Metal, Blues, Rap, Pop ou encore House/Techno. Petite nouveauté il y a également 2 textes en espagnol et 1 en anglais.
Avec entre autres : De Mauvais Poil Sobriété MasterSex Si Because my love is your love Rimes en -UL
Dans sa version XL ce sont 22 titres et 79 minutes de vibes pour tous les goûts.
Edition 2025 parce que ça s'impose Compte tenu de l'apothéose Pour fêter le Nirvana Parisien ,
et parce qu'une nouvelle Croupe du Monde (des clubs) arrive ...
...et Ousmane Ballon d'Or, et Ousmane Ballon d'Or...
La Croupe du monde revient et j'ai la GOAL Tel Makelele j'ai un zi-Zidane Vous pouvez m'a Pelé Ochoa le Messi Le Pizarro du sexe, ou encore Vagner-Love J'ai le jeu de passes de Ribéry et dès qu'on parle de Kane Je suis toujours partant pour une …ou Desailly
Si toi Thuram moi je Milito que j'ai la Queudrue J'ai l'Eto'offe pour jouer la Ligue des Croupions… Le Kyky est d'attaque toujours affuté Souvent Désiré, et plutôt Doué Toujours prêt à satisfaire une blonde ou De Bruyne Peu importe où, quand ou Coman Je suis prêt à me lancer dans tous les périples A part jouer Kvaratskhelia en mot compte triple.
Quand je croise une Bale Pepe au Kubo Avec une paire de Lolo, de Nêné, que dis-je de Robert Je deviens Loko je dé-Raï tant elle me Griezmann Je rêve de courses au but et de lui ouvrir le Boulevard Ousmane J'ai Dembélé une attaque cér-Evra-le et Karembeu de fièvre Et même si au départ j'étais Pacho J'en deviens Casemiro, j'ai une fracture à la Qatar-acte Je veux y mettre les Doha et passer à l'acte.
C'est Salah-ce mais j'ai l'envie Tenas J'oserai ce que le Marquiñhos pas, La Bella-Donna-rumma je lui mettrais la main façon Maradona Avant de lui présenter « O Mostro » mon Varane de Komodo Dans Deschamps et dans l'Haaland, dans ma Benzema chambre, Sur le divan ou sur mon Lee, son tanga fera du Rulli, Giresse Planté mon Piqué dans son Trésor Dans un échange Vitinha-sse, Ca fera l'essuie-Gallas comme dans une partie de Frimpong, Je lui tirerai les penaltys et y aura Pavard.
J'irai droit au Butt pour lui Kas-er les Kahn Pour faire N'Golo Golo dans Lacazette Ce ne sera pas un feu Depay, soyez-en sûrs j'en Veretout!
Gravesen, Yamal-aise, moi je ne convoite que des Poulsen Je ne suis pas de ceux qui abusent Davies Il m'en faut plus pour que mon coeur Xavi-re, Je m'emballe quand je pense Onana mais Très peu pour moi la Mooy des femmes Fontaine Quand nos membres Dumfries Je ne me Drogba aux sex-ploits, je n'ai pas cette Vila…
Pas que je me Cantona être seul Ni que je sois un endurci du Saliba Mais je suis plus sur le banc qu'à avoir des touches Je n'ai pas la tête Duga avec qui on faute par Hazard Je suis un Sage, j'ai des besoins Sommer J'aspire juste à passer avec les demoiselles Un moment Frei dans leurs tours de Babel Faire la Mouriñho-rer le reste Et surtout rester mo-Dest Digne et Courtois Car au-delà de l’acte l’Amour reste Roi
Cependant j’en Neymar Sané pas que j'ai l'appétit d'un hooligan qui sort de taule Mais la Croupe du Monde revient, et j'ai la Goal.
Rose, Comment te dire ce qui m'indispose ? Je respecte ton désir d'osmose Ta peau fraîche comme bouquet de roses Je ne sais calmer ce cœur qui explose Devant ce corps que tu exposes Qui me suggère tant de choses Tu es un bonbon, une dose de saccharose Je pense à tant de choses, Mais je ne les ose Tu rêves de câlines apothéoses D'ivresses et d'overdoses En vers ou en prose Tu veux m'aimer de Germinal à Ventôse Rompre avec le quotidien, la sinistrose, Mais je le refuse, je m'y oppose.
Rose, Je comprends ce que tu me proposes, Qu'on se chevauche, se superpose, Que nos câlins, sur un matelas, se posent , Mais je mets ton film sur pause !
Tu te crois fleur juste éclose Mais t'es pas loin de la ménopause Dans ta forêt, ce qui pousse, c'est plutôt des mycoses Sur ton visage, derrière la crème, on compte les nécroses, T'es pas loin de la retraite, et même de l'arthrose, Tes lèvres sentent la rose, mais ton haleine la cirrhose Tu respires la jeunesse qui se décompose, Puis de toute façon la porte est close, Veux-tu que je t'exposes la chose Avec une belle anadiplose ….
Anadiplose, parce que vraiment ça s'impose Imposes toi et je te dirai que j'en ai ma dose Dose d'adrénaline qui me rend tout chose Chose promise mais que je refuse, parce qu'en tout état de cause Cause toujours, la place est prise, je préfère mettre PAUSE PAUSE, STOP, EJECT, si ma femme nous lit elle t'explose !
Fin du roman à l'eau de rose, Rose, Tu voulais la romance au firmament, Tu croyais au conte du prince amant, Sous le mince filament d'une lampe tamisée. Je comprends ton cœur impatient, Mais je ne suis pas le bon client Pour des effusions déguisées, Alors il vaut mieux que tu passes à autre chose, Sorry lady, mais je t'envoie sur les roses.
P.S : Je commence cette lettre par la fin On écrit bien des musiques sans refrain Puis comme l’écrit s’emporte dans la course du temps On s’emporte, on oublie le plus important C’est au dernier moment Qu’on ressent l’ultime ultimatum Au dernier instant Qu’on greffe un addendum A nos écrits vains Epistolaires, sans lendemains Alors je parafe de ma main Ma lettre mi-figue mi-raisin Mi-joie mi-chagrin Derrière ces mots futiles que je sème J’ajoute… P.S : Je t’aime.
Ca s’appelle un post-scriptum Nota-Bene, remarque, Mémorandum La feuille du Mojito par-dessus le Rhum La dernière bulle de l’aquarium Quelques mots gonflés à l’Hélium Des mots qui pansent Nos écrits comme un sérum. Notion flou, notion abstraite Comme pour guérir l’absence Dans nos pensées distraites. Contre l’oubli de l’Essentiel Mon rajout, c’est le bleu dans le ciel P.S : Ton sourire me manque Mon arc-en-ciel.
Un post-scriptum Parafé de mon critérium Un bille, la pointe en Iridium Des mots irradiés Pas de Plutonium, ni d’Uranium Mais qui reflètent la radioactivité De mon cœur d’Homme Et l’excentricité D’une passion couleur Opium, Où tout est flou, où tout est fou… P.S : I Love you
Des mots en trop, un ultime écho Des mots de trop ou un écho La dernière parole est salutaire, Celle qui résonne et ne sait se taire. Des mots en plus, qui chantent en vibrato Pour se redonner un peu plus chaud Post-Data: Te extraño Post-Dicho: Te amo
P.S : Je termine ma lettre Et j’ai oublié peut-être Ce qui est le plus important à mes yeux: Tout ce bonheur que l’on respire à deux Et c’est un rappel D’un oiseau à ses ailes Rappel à voix douce Avec des mots qui s’émoussent, Voilà des mots en plus que je sème Dans un dernier élan Avant que la lettre ne s’envole au vent P.S : Je t’aime
Ah! Ce que j'aimerais être ta savonnette, Pour caresser langoureusement ta peau nue, M'étaler conquérant tes contrées inconnues, C'est avec plaisir que je rendrais ta raie nette.
Ah! Si je pouvais devenir ta savonnette, Errer sur les courbes saillantes de ton corps, Fondre d'envie en m'égarant dans tes décors En t'adoucissant pour te rendre plus parfaite.
Je voudrais t'accompagner le temps d'une douche, Juste le temps que ton corps émouvant me touche, De visiter toutes tes merveilles si belles.
Tant pis si mon destin suit celui de ton eau Effondré à tes pieds, glissant au caniveau... Je rêve juste d'une douche éternelle.
J'ai des mots comme des flammes à l'âme Un slam qui se déclame comme des coups de lame Tranchant mon cœur dans ses pleurs de drame Qui crament sous la trame de ma plume pyromane Puits sans pannes l'encre gagne le papier pagne Mouchoir illusoire peint de noir de désespoir
Je traverse un trou noir dans le traquenard du soir Dans l'espoir qu'un brouillard embrouille mon cauchemar Y en a marre de voir chaque soir dans le miroir Ce tintamarre tête d'amarre comme un calamar Seiche plumée qui de sa plume distille Des mots habiles plein de style qui s'enfilent et défilent Mais fragiles inutiles s'émaillent et s'effilent En attendant qu'une fille docile agile et tactile Entende que s'horripile mon esprit si futile Je file avant que la vie ne me déquille Le sourire de ces dames au soleil de Séville
Je slamme les blâmes que j'ai à l'âme, Je slamme les problèmes de mon cœur blême Je scande mes malheurs dans un crachoir poème, Les soucis d'un insouciant tel en serait le thème.
Anathème et dilemme erreur système Stériles seront les soupirs que je sème Sévit le vent volubile de mes mots Murmures mijotés qui ne guérissent pas mes maux Mémoires dédicacées à l'armoire de mes déboires Seul panard dans ce placard m'offrir à boire Boisson à la bérézina de mes moissons Les mois sont les heures où se perd ma foi Foi en une vie de roi dans une meute aux abois Je vois mon âme qui flamboie et qui se noie Et boit la tasse emportée par la nasse Masse écarlate de mon sang sauce tomate Gaspacho de ma peau j'ai fait un garrot Mais j'en crèverai car je ne suis pas un héros Le manque d'amour le manque de rire est ma gestapo Je sais bien qu'un jour elle aura ma peau Pogo musical impro de joutes verbales Me sauve de la vie tel un gilet par balle
Je slamme les blâmes que j'ai à l'âme, Je slamme les problèmes de mon cœur blême Je scande mes malheurs dans un crachoir poème, Les soucis d'un insouciant tel en était le thème.
I wanna love you Everyday and every night I wanna love you Eight days a week, Sixty nine minutes an hour I feel love you hypnotize me See me, feel me, touch me You're my angel for all days You're my deamon for all nights No more lonely days No more lonely nights You're my fuel you're my fire You are my love, my high my life and my desire.
Amour, amour La vie est belle, ma vie en rose Tu es mon l'émotion que je puise à l'encre de tes yeux.
I gotta feeling I believe I can fly Because I got you, because I got high. I just can't stop loving you This is It, that's how I feel I feel love, all my love like a spell on you Your Body on Me feels unreal It's unlike the Digital Love we make When you touch my body and I take Your heart in my hands, it's beating for me.
I just can't stop, Can't stop 'til you get enough And I just can't get enough When you touch my body Starting me up and never stop.
Too much of Heaven This Heaven Inside You It's the Ectasy of Gold When you hold on ... Hold on my heart I feel Invincible All seems Unbreakable Your sensitivity on every breathe you take Reminds me I was made for loving you It's in your eyes and in your PokerFace You and me, Face to face Just like two hearts in a playground love We get together each other And Nothing Else Matters.
It's the way you love me That's the way I love you I belong to you and you belong to me too It's only mystery but I like it And I know you like me, I know you do Because make love is what we love to do.
Amour, amour Je t'aimais je t'aime et je t'aimerai Parce que c'est ainsi, parce que c'est écrit.
Let's be kings and queens Playing the Game of Love, our Favourite Game Come on closer, just close to my heart Because you're just another part of me I can't wait ... I want to know what love is Show me the way, show me again, show me love Can you feel the love tonight ? Can you feel you are not alone ? High hopes made me travel around the world And that's how I found the most beautiful girl in the world And you're the One that I want Before I Forget It, I just want you to know That all I wanna do is spend a lifetime with you And that's all I want, all I need.
My girl, my girlfriend... You're my all, my everything, Take a look at me now and take my hand Wannabe startin' something that never ends.
En ces temps de fête je voulais évoquer un partenaire de toujours, un ami de plus de 20 ans, un site que j'avais découvert presque en même temps que l'internet ... un endroit où l'on croise plein de poètes amateurs comme moi, parfois amis de longue date (à commencer par le webmestre) et où j'aime à poster aussi mes textes (quoique épisodiquement). De temps à autres on édite même quelques receuils.
On y trouve des poèmes de divers poètes amateurs comme moi on une bonne centaine d'autres, des poèmes illustre d'hier et une galerie d'art, parce qu'il n'y a pas que des poètes mais des créateurs divers et variés.
(nouveauté) Les écrits restent ... même si on les écrit directement dans le Cloud
S'il y a une couleur un peu terne
A appliquer sur nos temps modernes
C'est l'abandon de bonnes vieilles traditions
Comme celle de chercher un papier et un crayon
Et pouvoir faire couler de l'encre à vau l'eau
Sans même avoir besoin d'un stylo.
Le poète d'aujourd'hui n'ira pas se mettre en quatre
Pour chercher un confessional au format A4
Pour peu qu'il aie un clavier devant lui
Il couchera sur le virtuel sa joie ou son ennui
Peut-être même qu'il prendra des notes sur son iPhone
Pour lui chanter les rimes qui lui sonnent.
Ecriture technologique où les sangs d'encre,
Où les pensées futiles comme celles qui s'ancrent
N'ont même plus besoin d'un support...
Ecrire sans écrire, quel drôle de sport !
Triste destin que celui de la plume
Seuls quelques octets suffisent à capturer son écume.
Informaticien et poète, j'ai depuis longtemps transgressé
Le mythe de l'écrivain ivre de velin à caresser,
Troqué le roller pour les touches d'un clavier affuté,
Troqué la feuille de brouillon pour un point txt.
Vous pourrez me dre que ça rime à rien
Mais c'est ainsi qu'on écrit la Légende du XXIe siècle !
Certains diront qu'écrire ainsi entre guillemets
C'est un peu écrire à demi-mots, en pointillés
Mais croyez moi l'encre y est !
(nouveau) La vie est un jeu de boites qui s'empilent
J’ai une histoire qui déboite Ça commence par des corps qui s’emboîtent Qui s’encastrent comme des lego Dans une atmosphère moite.
Ça commence par l’union de sourires échangés en boite Ou dans bien d’autres circonstances Quoi qu’on en dise, qu’on en pense On retrouvera ça dans une boîte souvenir De leurs premiers émois, de leurs premiers soupirs De quand ils se sont unis pour le meilleur et le pire.
De là les boites vont s’empiler Les boîtes de couches, les boîtes de lait La boîte de nos premiers jouets, Les boîtes de cubes à empiler Et on jette celle des biberons et du tire-lait.
Place aux boites de petits-pois carotte Aux boites de biscuit et de compotes C’est le temps des potes Qui te mettent en boîte à la récré Premières bêtises , premières boîtes à secrets Boîte de feutres et de crayons
Puis on découvre la boîte de vitesse et la transmission, Les joies du freinage et de l’accélération Et dans quelques regards sensuels On a le cœur qui s’emballe comme une boîte séquentielle Comment pénétrer leur regard brun et noir Comment s’immiscer dans leur boîte noire Et comme la vie c’est une boîte de chocolats L’une d’elle vous emmène vers l’infini et au delà
Et c’est dans la boîte , vos deux univers s’emboîtent Et vos boites en carton sont envoyées dans la même direction C’est l’heure où s’ouvrent les boîtes de Pandore Dans l’attente qu’une boîte vous ouvre un pont d’or De là on s'engage dans des boites et on remplit parfois un carton Avant de retrouver un nouveau patron, Là aussi on accumule boîtes de jeu et boîtes à souvenir Boîtes à garder, ou qu’on n’ose même plus ouvrir.
Un écrin à bijou pour a son tour s'unir Quelques boîtes de couches pour évoquer un nouvel avenir Des boites de jouets, de jeux, de photos et de souvenirs, Des boites en carton, qui a leur tour vont partir. Et quelques boîtes de médocs Côtoient les boîtes de Médoc Selon qu’on soigne le corps ou l’âme On garde des boîtes pour nous sourires et aussi pour nos larmes.
Et à un moment donné on pense à cette boîte , Notre dernière boîte Celle qui verra des smokings noirs Et qui côtoiera des boites de mouchoirs De ceux qui nous aimeront encore quelques mètres plus haut Et qui gardent une boîte de nos moments les plus beaux.
La fin est triste mais cette histoire déboite Une histoire de boîtes qui s’emboitent Qui s’enchaînent et s’empilent Se calent dans les autres comme dans une matriochka Des boites de nos joies nos peines et nos tracas. Notre vie c’est un grand bazar qui tient dans une pile de boîte. On les ouvre l’une après l’autre et c’est ça qui déboîte.
(nouveau) Entre contrepèterie et comptabilité analytique
J'introduis les chiffres en baisse ...
Je suis un commissaire au comptes La bête d'un cabinet d'Audit Situé à Beaumont le Viconte Ville connue pour ses beautés de site.
Experte formée aux câles de Bonn Ma collègue Line est experte sur l'EBITDA En se branchant sur les bonnes colonnes Moi j'analyse les pertes à l'achat
Stackhanoviste je ne compte pas mes heures J'aime bosser même entre les fêtes Je case les sommes et je passe correcteur Je me fais parfois casser la maquette.
J'aime avoir des billes pour manier les chiffres J'aime éplucher les comptes avec l'habit Tout le monde me prend pour un sous-fiffre Mais je connais la musique la sol do mi fa si
Et ... j'introduis les chiffres en baisse ...
Les actifs circulant dans le sang Je cherche les infos en sus à l'annexe Le tout va être confus je le sens Il faut que je doute des fois des index
Quand je vérifie le fond et les caisses Je suis comme les gosses devant les creux C'est comme explorer les fosses de la Grèce A l'affut de tous les dons couteux.
Je soutiens les experts du passif Toujours à fond avec leurs luttes Friand des dessous derrière les certifs Je relie les chiffres et je m'exécute.
J'aimerais me changer de ces maths à tout va C'est tout un sport ces comptes à terme Le dernier calcul et tout le monde s'en va La comptabilité est un sport extrême.