Bonjour, certains me connaissent d'autres moins, je suis YonL (Lionel de mon vrai prénom), poète et slammeur en région parisienne.
J'ai écris un peu, beaucoup et même passionnément depuis l'âge de 9 ans. La Poésie est une maladie dont on ne peut pas guérir, et c'est tant mieux.
Ah! Ce que j'aimerais être ta savonnette, Pour caresser langoureusement ta peau nue, M'étaler conquérant tes contrées inconnues, C'est avec plaisir que je rendrais ta raie nette.
Ah! Si je pouvais devenir ta savonnette, Errer sur les courbes saillantes de ton corps, Fondre d'envie en m'égarant dans tes décors En t'adoucissant pour te rendre plus parfaite.
Je voudrais t'accompagner le temps d'une douche, Juste le temps que ton corps émouvant me touche, De visiter toutes tes merveilles si belles.
Tant pis si mon destin suit celui de ton eau Effondré à tes pieds, glissant au caniveau... Je rêve juste d'une douche éternelle.
J'ai des mots comme des flammes à l'âme Un slam qui se déclame comme des coups de lame Tranchant mon cœur dans ses pleurs de drame Qui crament sous la trame de ma plume pyromane Puits sans pannes l'encre gagne le papier pagne Mouchoir illusoire peint de noir de désespoir
Je traverse un trou noir dans le traquenard du soir Dans l'espoir qu'un brouillard embrouille mon cauchemar Y en a marre de voir chaque soir dans le miroir Ce tintamarre tête d'amarre comme un calamar Seiche plumée qui de sa plume distille Des mots habiles plein de style qui s'enfilent et défilent Mais fragiles inutiles s'émaillent et s'effilent En attendant qu'une fille docile agile et tactile Entende que s'horripile mon esprit si futile Je file avant que la vie ne me déquille Le sourire de ces dames au soleil de Séville
Je slamme les blâmes que j'ai à l'âme, Je slamme les problèmes de mon cœur blême Je scande mes malheurs dans un crachoir poème, Les soucis d'un insouciant tel en serait le thème.
Anathème et dilemme erreur système Stériles seront les soupirs que je sème Sévit le vent volubile de mes mots Murmures mijotés qui ne guérissent pas mes maux Mémoires dédicacées à l'armoire de mes déboires Seul panard dans ce placard m'offrir à boire Boisson à la bérézina de mes moissons Les mois sont les heures où se perd ma foi Foi en une vie de roi dans une meute aux abois Je vois mon âme qui flamboie et qui se noie Et boit la tasse emportée par la nasse Masse écarlate de mon sang sauce tomate Gaspacho de ma peau j'ai fait un garrot Mais j'en crèverai car je ne suis pas un héros Le manque d'amour le manque de rire est ma gestapo Je sais bien qu'un jour elle aura ma peau Pogo musical impro de joutes verbales Me sauve de la vie tel un gilet par balle
Je slamme les blâmes que j'ai à l'âme, Je slamme les problèmes de mon cœur blême Je scande mes malheurs dans un crachoir poème, Les soucis d'un insouciant tel en était le thème.
I wanna love you Everyday and every night I wanna love you Eight days a week, Sixty nine minutes an hour I feel love you hypnotize me See me, feel me, touch me You're my angel for all days You're my deamon for all nights No more lonely days No more lonely nights You're my fuel you're my fire You are my love, my high my life and my desire.
Amour, amour La vie est belle, ma vie en rose Tu es mon l'émotion que je puise à l'encre de tes yeux.
I gotta feeling I believe I can fly Because I got you, because I got high. I just can't stop loving you This is It, that's how I feel I feel love, all my love like a spell on you Your Body on Me feels unreal It's unlike the Digital Love we make When you touch my body and I take Your heart in my hands, it's beating for me.
I just can't stop, Can't stop 'til you get enough And I just can't get enough When you touch my body Starting me up and never stop.
Too much of Heaven This Heaven Inside You It's the Ectasy of Gold When you hold on ... Hold on my heart I feel Invincible All seems Unbreakable Your sensitivity on every breathe you take Reminds me I was made for loving you It's in your eyes and in your PokerFace You and me, Face to face Just like two hearts in a playground love We get together each other And Nothing Else Matters.
It's the way you love me That's the way I love you I belong to you and you belong to me too It's only mystery but I like it And I know you like me, I know you do Because make love is what we love to do.
Amour, amour Je t'aimais je t'aime et je t'aimerai Parce que c'est ainsi, parce que c'est écrit.
Let's be kings and queens Playing the Game of Love, our Favourite Game Come on closer, just close to my heart Because you're just another part of me I can't wait ... I want to know what love is Show me the way, show me again, show me love Can you feel the love tonight ? Can you feel you are not alone ? High hopes made me travel around the world And that's how I found the most beautiful girl in the world And you're the One that I want Before I Forget It, I just want you to know That all I wanna do is spend a lifetime with you And that's all I want, all I need.
My girl, my girlfriend... You're my all, my everything, Take a look at me now and take my hand Wannabe startin' something that never ends.
En ces temps de fête je voulais évoquer un partenaire de toujours, un ami de plus de 20 ans, un site que j'avais découvert presque en même temps que l'internet ... un endroit où l'on croise plein de poètes amateurs comme moi, parfois amis de longue date (à commencer par le webmestre) et où j'aime à poster aussi mes textes (quoique épisodiquement). De temps à autres on édite même quelques receuils.
On y trouve des poèmes de divers poètes amateurs comme moi on une bonne centaine d'autres, des poèmes illustre d'hier et une galerie d'art, parce qu'il n'y a pas que des poètes mais des créateurs divers et variés.
(nouveauté) Les écrits restent ... même si on les écrit directement dans le Cloud
S'il y a une couleur un peu terne
A appliquer sur nos temps modernes
C'est l'abandon de bonnes vieilles traditions
Comme celle de chercher un papier et un crayon
Et pouvoir faire couler de l'encre à vau l'eau
Sans même avoir besoin d'un stylo.
Le poète d'aujourd'hui n'ira pas se mettre en quatre
Pour chercher un confessional au format A4
Pour peu qu'il aie un clavier devant lui
Il couchera sur le virtuel sa joie ou son ennui
Peut-être même qu'il prendra des notes sur son iPhone
Pour lui chanter les rimes qui lui sonnent.
Ecriture technologique où les sangs d'encre,
Où les pensées futiles comme celles qui s'ancrent
N'ont même plus besoin d'un support...
Ecrire sans écrire, quel drôle de sport !
Triste destin que celui de la plume
Seuls quelques octets suffisent à capturer son écume.
Informaticien et poète, j'ai depuis longtemps transgressé
Le mythe de l'écrivain ivre de velin à caresser,
Troqué le roller pour les touches d'un clavier affuté,
Troqué la feuille de brouillon pour un point txt.
Vous pourrez me dre que ça rime à rien
Mais c'est ainsi qu'on écrit la Légende du XXIe siècle !
Certains diront qu'écrire ainsi entre guillemets
C'est un peu écrire à demi-mots, en pointillés
Mais croyez moi l'encre y est !
(nouveau) La vie est un jeu de boites qui s'empilent
J’ai une histoire qui déboite Ça commence par des corps qui s’emboîtent Qui s’encastrent comme des lego Dans une atmosphère moite.
Ça commence par l’union de sourires échangés en boite Ou dans bien d’autres circonstances Quoi qu’on en dise, qu’on en pense On retrouvera ça dans une boîte souvenir De leurs premiers émois, de leurs premiers soupirs De quand ils se sont unis pour le meilleur et le pire.
De là les boites vont s’empiler Les boîtes de couches, les boîtes de lait La boîte de nos premiers jouets, Les boîtes de cubes à empiler Et on jette celle des biberons et du tire-lait.
Place aux boites de petits-pois carotte Aux boites de biscuit et de compotes C’est le temps des potes Qui te mettent en boîte à la récré Premières bêtises , premières boîtes à secrets Boîte de feutres et de crayons
Puis on découvre la boîte de vitesse et la transmission, Les joies du freinage et de l’accélération Et dans quelques regards sensuels On a le cœur qui s’emballe comme une boîte séquentielle Comment pénétrer leur regard brun et noir Comment s’immiscer dans leur boîte noire Et comme la vie c’est une boîte de chocolats L’une d’elle vous emmène vers l’infini et au delà
Et c’est dans la boîte , vos deux univers s’emboîtent Et vos boites en carton sont envoyées dans la même direction C’est l’heure où s’ouvrent les boîtes de Pandore Dans l’attente qu’une boîte vous ouvre un pont d’or De là on s'engage dans des boites et on remplit parfois un carton Avant de retrouver un nouveau patron, Là aussi on accumule boîtes de jeu et boîtes à souvenir Boîtes à garder, ou qu’on n’ose même plus ouvrir.
Un écrin à bijou pour a son tour s'unir Quelques boîtes de couches pour évoquer un nouvel avenir Des boites de jouets, de jeux, de photos et de souvenirs, Des boites en carton, qui a leur tour vont partir. Et quelques boîtes de médocs Côtoient les boîtes de Médoc Selon qu’on soigne le corps ou l’âme On garde des boîtes pour nous sourires et aussi pour nos larmes.
Et à un moment donné on pense à cette boîte , Notre dernière boîte Celle qui verra des smokings noirs Et qui côtoiera des boites de mouchoirs De ceux qui nous aimeront encore quelques mètres plus haut Et qui gardent une boîte de nos moments les plus beaux.
La fin est triste mais cette histoire déboite Une histoire de boîtes qui s’emboitent Qui s’enchaînent et s’empilent Se calent dans les autres comme dans une matriochka Des boites de nos joies nos peines et nos tracas. Notre vie c’est un grand bazar qui tient dans une pile de boîte. On les ouvre l’une après l’autre et c’est ça qui déboîte.
(nouveau) Entre contrepèterie et comptabilité analytique
J'introduis les chiffres en baisse ...
Je suis un commissaire au comptes La bête d'un cabinet d'Audit Situé à Beaumont le Viconte Ville connue pour ses beautés de site.
Experte formée aux câles de Bonn Ma collègue Line est experte sur l'EBITDA En se branchant sur les bonnes colonnes Moi j'analyse les pertes à l'achat
Stackhanoviste je ne compte pas mes heures J'aime bosser même entre les fêtes Je case les sommes et je passe correcteur Je me fais parfois casser la maquette.
J'aime avoir des billes pour manier les chiffres J'aime éplucher les comptes avec l'habit Tout le monde me prend pour un sous-fiffre Mais je connais la musique la sol do mi fa si
Et ... j'introduis les chiffres en baisse ...
Les actifs circulant dans le sang Je cherche les infos en sus à l'annexe Le tout va être confus je le sens Il faut que je doute des fois des index
Quand je vérifie le fond et les caisses Je suis comme les gosses devant les creux C'est comme explorer les fosses de la Grèce A l'affut de tous les dons couteux.
Je soutiens les experts du passif Toujours à fond avec leurs luttes Friand des dessous derrière les certifs Je relie les chiffres et je m'exécute.
J'aimerais me changer de ces maths à tout va C'est tout un sport ces comptes à terme Le dernier calcul et tout le monde s'en va La comptabilité est un sport extrême.
Si la vie était si sinistre que les scies sciaient systématiquement notre moral, notre civilisation s'y retrouverait elle ? Si les ministre et leur esprit scientifique s'y mettaient aussi serions nous sciés nous aussi ? Si capitales soient ces questions, si seulement nous pouvions y répondre avec notre enthousiasme en dents de scie ?
Si fa si le quelle soit dans le silence au milieu des do fins et des ré manta, la musique sur le dos, sur le sol sé fa si lluminant nos ouïes, une melodie efficace substituerait les silences et six cents fées du fado danseraient sur un sol si fa si la si ré...
Si pusieramos decir "Si" a todos nuestros deseos...si decir "Si" sea tan facil, el hombre, si, seria mas fuerte y menos debil adelante las dificuldades.
Si ce n'est pas la mer à boire, c'est au moins le Mississipi. Si c'était possible avec une baguette en if de reconditionner le monde, si nous pouvions lui imposer nos conditions et nos voeux il y aurait de tels tremblements de terre que les oscillations des sismographes feraient siffler les machines signifiant que soient occis tous les systèmes de la civilisation.
Et si...au lieu de dire si ceci, si cela deci dela nous arrêtions d'être négatif et de parler de missiles qui s'immiscent chez les civils et de missives offensives... pour dire "Si", "Si, "Yes, "Oui" pour ce qui est de fermer les cicatrices du monde...nous serions sans doute si heureux que nous irions chanter "I'm singing in the rain" même au milieu des "sing sing". Et si chacun s'y met les citoyens se scieraient en deux des idioties qu'on nous martèle avec tant de minutie.
Et si Sissi l'impératrice s'y met aussi avec Lassie et Cicinho a manger des saucisses, nos zygomatiques s'en retrouveraient fatiguées d'être aussi sollicitées et le rire s'imposerait au sein de nos cités.
Retrouvez sur Youtube mon 1er "Album" intitulé Canardages ...
Les guillemets sur album viennent du fait que j'ai soumis mes textes à une IA Suno qui a composé pour moi la bande son, avec des styles variés ... Disco new age, Rap, Metal entre autres.
Avec en tête d'affiche l'un de mes textes phares: Coin Coin mais aussi la Croupe du Monde, Histoire de Q, Phobos et bien d'autres.
Dans sa version XL retrouvez 21 titres et offrez vous 80 minutes de bonheur.
Vous êtes pas contents ? Triplé Triplé de boulettes plutôt que des roulettes Avec moi tout va vite dans mes pirouettes La sélection très peu pour moi, j'ai préféré la fête Vous allez encore dire que je préfère faire la tête C'est ma tambouille, c'est ma recette, c'est un fait Vous direz sans doute c'est beaucoup de dérapages Mais a moi tu me parles pas d'adage...
Vous dites dérapage, je réponds enfumage C'est bien une image qu'on vient prendre en otage Suis-je victime, suis-je coupable ? Je suis dans l'oeil d'un cyclone impitoyable ! Est-ce un crime de profiter de l'instant ? Oui je me détends, oui j'ai pris du bon temps Mais je suis le gibier d'une chasse à l'homme Soyez les bienvenus dans mon Syndrôme de Stockholm.
Vous êtes pas contents ? Trippez Quoi que je fasse je suis l'homme qui fait parler Pivot Gang, Penalty Gate et autres joyeusetés Je suis toujours au coeur de l'actualité Un hors-jeu de plus, je suis habitué Ma tête est mise à prix c'est un éternel sujet Que j'aille au resto, en boite ou à la plage Pour moi ce qui compte, c'est la première page.
Vous dites dérapage, je réponds enfumage C'est bien une image qu'on vient prendre en otage Suis-je victime, suis-je coupable ? Je suis dans l'oeil d'un cyclone impitoyable ! Est-ce un crime de profiter de l'instant ? Oui je me détends, oui j'ai pris du bon temps Mais je suis le gibier d'une chasse à l'homme Soyez les bienvenus dans mon Syndrôme de Stockholm.
Vous êtes pas contents ? Tranchez Peu m'importe votre vision, votre opinion Je crie à calomnie, je crie machination Je sais très bien qui met ma tête à prix Moi aussi je dénonce, je l'affirme et je crie J'aurai le lustre, la gloire et la rançon En attendant j'apprends ma leçon Vous pouvez penser que je suis un mauvais garçon Mais à la prochaine grande échéance sur le terrain Je compte bien répondre et vous le savez bien
Vous dites dérapage, je réponds enfumage C'est bien une image qu'on vient prendre en otage J'en suis tout autant victime que coupable Et comme sur le terrain je serai insaisissable Je n'aurai peut-être pas dû prendre du bon temps Mais je refuse d'être une machine de matches et d'entrainements Je suis traqué, chassé, mais au final je reste un homme Soyez les bienvenus dans mon Syndrôme de Stockholm.