mercredi 27 août 2014

Bandwidth Control (2014)


[Nouveau] Il y a ceux qui parlent CFT et les autres , dédicace à Zouzou...

  Date = 27/08/2014   Time = 15:24:15

 Partner  DTSAPP File     Transfer         Records       Diags        Appli.
ppstate.
                 Id.      Id.       Transmit     Total   CFT Protocol Id.
 -------- ------ -------- -------- ---------- ---------- --- -------- --------
--------
 ZOUZOU   SFK TK BANDWIDT H2715241          0          0 408 NO PART




"Les meilleures performances sont celles qui durent"
L'Axiome de Michelin se vérifie à l'usure
Il faut CIPHER comme on joue avec un caillou dans la chaussure
La vie est ainsi faite, plus on joue avec, plus c'est dur.

Peu importe le PARTNER qui t'INTERPEL
Ou même qu'on soit adepte du mode STANDALONE , ... en NO PART
L'exercice n'admet pas que l'on se LOOP
Et dans le lit d'ODETTE il faut le faire avec CLASS
ET sans INTERRUPTion savoir COMPOSER avec la COMPRESSION
De notre sang qui bout, la conscience comme COPILOT
Car personne ne sera posté en SENTINEL
L'exercice étant en général CACHE
A moins bien sûr que l'idée d'un BROADCAST AGENT ne t'EXIT
Au point de publier des NETBAND.

Après les techniques sont nombreuses
Je n'irai pas éplucher le CATALOG
Des nombreuses méthodes décrites dans la SEX_API.
Qui, de toute manière a besoin d'un manuel
Pour parfaire son contact sensuel ?
Tu peux être CROSS_PLATFORM ou même MAX_TRANS
Que cela ne créerait pas de nouvelles transes
Pas même qu'optimiser le BUF_SIZE
Ne crée de nouvelles extases.

Qu'il se passe sous la ceinture ou sous l'SSL
Le plaisir SUSE si on si on ne le TRANSFER pas
FTYPE=X, DIAGI 169, j'ai tout monté en REVERSE
Et au-delà des analogies perverses
Les FLUX qui nous traversent en permanence
Ont besoin d'une CENTRAL GOVERNANCE.
On envoie comme on reçoit et ça tombe sous le sens
C'est de cette maitrise que provient la puissance
En bon italien tu le sais bien
"Sans Maitrise la Puissance n'est rien"

Plus que le MAX_CNX, ce qui importe c'est le MAX_DURATION
Avec ou sans SECURE_RELAY
Ne pas négliger non plus l'ENABLER
Le "LA" qui lance le ballet
Et lorsqu'elle te délivre un PASSPORT
Pour te donner le plus beau ROLE
A toi de prendre le bon PORT
Et de garder le BANDWIDTH_CONTROL.

#1083 / 18.4.14

mardi 26 août 2014

Moi, poète de la République (2012)

Parce que la Poésie n'a heureusement rien de Politique et que je peux remanier ma plume sans créer un brouhaha qui brouille l'écoute, et que ma plume garde des convictions nettes et surent, qui ne mentent pas...
Retour sur un discours fédérateur

Moi, Poète de la République
J’écrirai sans arrière pensée
J’éviterai d’employer trop de mots pesés
Trop de propos calibrés et brossés
Qu’on écrit pour émouvoir
Pour stimuler les mémoires

Moi, Poète de la République
J’éviterai les métaphores,
J’éviterai les anaphores
J’éviterai d’être un écrivore
Aveuglé par une quête de mots
Je n’irai pas par 4 chemins, je n’irai pas dans tous les sens
Je suis un poète qui aime donner du sens

Moi, Poète de la République
Je n’userai
Ni de la démagogie
Ni de la psychologie
Ni de comparaisons, ni d’analogies
Ni de calembours ni de jeux de mots
Ni d’images crues, ni de mauvais maux
Je ne ferai ni du cul ni du cœur
Ni du social, ni du cousu main, ni du par cœur

Moi, Poète de la République
Je n’exploiterai  ni la famille, ni les banlieues
Ni les roses rouges pour les fleurs bleues
Je n’irai pas superposer les fantaisies
Et oser ensuite appeler ça de la poésie

Moi, Poète de la République
Je rejetterai le sale et le graveleux
Jetterai à l’égout la plume des dalleux
J’écrirai à l’encre de mes yeux
Mais pas à celle de ma queue

Moi, Poète de la République
Je n’achèterai pas le jury
Je ne les flatterai ni de l’œil, ni avec divers écueils
Je ne favoriserai aucun parti pris

Moi, Poète de la République
Jamais je ne corromprai mon auditoire
Pour être la star d’un soir

Moi, Poète de la République
J’écrirai librement et je slammerai librement
Moi, Poète de la République
Je serai le poète du libre arbitre
Je déclamerai sans chercher un titre
Je ne suis pas du genre à faire le pitre
Pour vous amadouer depuis mon pupitre.

Moi, Poète de la République
Je serai un poète feu d’artifice
Car je m’exprime naturellement, sans aucun artifice
Je n’aurai ni gène ni tabou
Je n’aurai pas peur de crier au loup
Je m’exprimerai, un point c’est tout

Moi, Poète de la République
Je ferai feu de tout bois
N’aurai aucune langue de bois
Je ne fais pas de politique
Je ne fais qu’utiliser ma licence poétique

Moi, Poète de la République
Je ne vendrai pas mon âme
Je ne vendrai pas mon slam
J’écris donc je suis
Et ce simple cri me suffit

Moi, Poète de la République
Je resterai un aboyeur
Je resterai un rêveur
Je resterai un auteur
En quête perpétuelle de hauteur

Moi, Poète de la République
Je continuerai à m’inspirer
De la pluie et du beau temps
Mais surtout, je resterai dans l’air du temps

Moi, Poète de la République
Je ne perdrai pas entre litanies et paraboles
Dans un monologue de vieux symboles
Et veillerai à mon  temps de parole

Enfin, Moi, Poète de la République
J’éviterai enfin de paraphraser
De m’inspirer de fameux discours
Et de les adapter pour vous jouer un tour
Pour vous charmer en donnant à mon texte des atours
Juste pour faire bien
Car je ne suis candidat à rien
Je ne suis qu’un poète, sans peur et sans doute
Qui ne cherche rien d’autre que votre écoute.

#1059 // 4/5/2012

samedi 23 août 2014

Mon plus beau coup (2010)

C'était il y a tout juste 4 ans...le début de ce qui n'a pas de fin...
Feliz cumple a nuestro amor / Joyeux anniversaire à notre amour

Tout était ordonné, tout était planifié
Et pourtant mon coeur palpitait
C'est tremblant, presque mortifié
Que j'ai dû m'y résoudre
Prendre mon courage à deux mains
C'est le moment, ça n'attendra pas demain.

Avec mes complices, on a marché main dans la main
Le piège était armé, l'arme soigneusement cachée
Derrières mes souvenirs amourachés.

J'avais sorti la tenue de combat,
C'est rare que je m'habille comme ça
Mais certaines occasions
Méritent qu'on se mette au diapason,
Aucun nuage à l'horizon
On peut lancer l'Opération.

Mes complices à Paris, je me rendis dans les bas fonds de Pierrefonds
Pour capturer de mes bras la plus tendre des otages,
Les fleurs sur le siège de l'Alfa reflétaient déjà comme une image
De toute cette folie que j'ai mise en place
Avec un sourire que rien n'efface.

Ainsi je traçais, vers le point de rendez vous
La belle proie, toujours en joue
Je la tenais par la main
L'Amour sillonnait notre chemin.

Ma cible, le Sacré Coeur
Un lieu Saint qui inonde de bonheur
Ma complice m'envoyait un message
La bougie s'éteignait peu à peu,
Il fallait que je magne un peu.

En haut de la butte, je touchais au but
Avec Montmartre qui contemple
L'entrée au plus brûlant des temples.

J'allais bile en tête dans ce coeur de feu
Regardais les étoiles comme on fait un voeu
Elle, ne pensait écouter à cet instant même
Qu'un simple, n-ième petit poème
Que je déclamais, semais au vent maudit
C'est ensuite seulement qu'elle a compris
Lorsque vint cette question à lui poser...
LA QUESTION, celle que l'Amour ne sait refuser...

Une larme a jailli lorsqu'elle m'a dit oui,
Le regard ému, le coeur ébloui,
La bague ne fut qu'un détail
Lorsqu'on a fêté nos fiançailles.

C'était un 23 Août à Montmartre
Et tout le monde a applaudi
C'était là mon plus beau coup
Ce genre de coup de maître
Qui bouleverse tout d'un seul coup
Une des grandes émotions de ma Vie.

#975 - 21.12.2010

vendredi 22 août 2014

Tes bras sont mes ailes (2008)

Parce que l'amour donne des ailes...


Tes bras sont mes ailes qui m'aident à monter jusqu'au ciel
Ils sont collés à moi, ils font désormais partie de mon corps
L'ascension se fait au rythme de la tendresse, jamais trop fort
Nos peaux lovées, dans un nuage de douceur, forment un arc-en-ciel.

Mes lèvres aventurées au creux de ton cou, je m'abandonne
Et c'est ton souffle, ton sourire et ton regard qui nous guide
Notre envol est doux et léger avec un battement fluide
Nos ailes battant au rythme de nos coeurs qui se coordonnent.

Dans un volute de passion remplie de chaleur et de vertiges
Tel un mirage notre étreinte transperce les nuages
Sans a coups, sans dépression ni orage
Car seule notre candeur nous dirige.

Tes bras sont mes ailes et arrivé à la hauteur de nos espérances
Le temps se suspend et nous nous maintenons sous la portance
Des zéphyrs de nos soupirs remplis des 1001 fragrances
Qui donnent à nos baisers le gout d'un cocktail de fortes essences.

Observés par le soleil et la lune l'albatros de nos corps vole
Au rythme même des baisers volés et des dérobades
L'étoile des lumières et son assistante observent l'aubade
Qui se dessine devant eux en ombres frivoles.

Avec un désir d'éternité même si le moment est éphémère
Sans direction aucune si ce n'est celle de nos 12 sens
Au delà de la stratosphère et au delà même de la jouissance
Nous voulons tous deux en stationnaire au dessus des mers

Tes bras sont mes ailes, partons à tire d'aile
Doublons tourtereaux rouge gorges et hirondelles
Dans tes baisers roses, tulipes et miel
Allons conquérir ensemble le bleu du ciel.




#735 - 29.7.2008

vendredi 15 août 2014

Cité Blanche (2014)

[Nouveau] 474 años hoy feliz cumple Arequipa / Arequipa fête ses 474 ans



J'y pense parfois dans mes nuits blanches
A cette cité aux pierres blanches
Lointaine, mais dans mon cœur si proche
Que je pourrais presque en caresser les roches

Une cité qui trépigne et tremble
Parfois à forte magnitude
Perchée à 2300 mètres d'altitude
Si loin, si proche qu'elle semble
Parfois habiter en moi.

Elle est sublime elle me domine
Comme le Misti face à elle.
Elle m'observe, forte citadelle
De ses grandes pierres d'albumine
A moins que ce ne soit du Sillar.

Même sans y être je m'y égare
Comme le ferait le grand Melgar
Poète émérite de ma cité inédite
Où une partie de mon cœur encore habite.

Cité des volcans ou même les gens sont volcaniques
Elle est toute proche, juste au bout du monde
C'est un tableau, que dis-je une Joconde
Lorsque le soleil anime de son œil unique
Sa place d'Armes, sa Cathédrale
Ses rues pavées pleines de vie
Pleine de l'énergie de ses piments farcis
De Cayma a Yanahuara
D'Umacollo au cloître de Santa Catalina.

Arequipa, la blanche du bout du monde
Loin de Paris ma belle blonde
J'ai ramené près de moi ton plus beau trésor
Et pourtant tu me manques, chaque année encore
Lorsque ton carnaval du 15 Août te pare d'or.

Arequipa, mon autre patrie, Cuidad Blanca
Avec tes rues, ta campagne et ton Colca
Un jour je reviendrai vers toi.
Pour te retrouver, toi, la complice de mes émois
Témoin de mariage et de mes plus fous mirages
Si le Misti est ton roi
De mon monde, tu es le toit.


15.8.2014

lundi 11 août 2014

La nuit je mens...(2012)

Centon


Le principe d'un Centon est simple, il s'agit d'assembler un texte avec des passages de textes célèbres.

A vous de les retrouver ! 


La nuit je mens comme je m'endors
Bouche ouverte, tête nue
Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu
Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant
Je le refais, et ça continue encore et encore...

J'entends les sanglots longs des violons de l'Automne
Et je m'en vais au vent mauvais
Sur le parking des anges
Là où la Terre est bleue comme une orange.

Mais le Poète est semblable au prince des nuées
Ses ailes de géant l'empêchent de marcher
Il est une prison où l'âme reste libre
Derrière les barreaux, pour quelques mots pensés si fort.
Je vis le plus lourd fardeau, c'est d'exister sans vivre,
Vivre pour le meilleur, vivre avec le cœur qui bat
Au rythme des marées, à celui des saisons,
A celui des heures du jour et de la nuit.

Je fais souvent ce rêve,
Mais la nuit je mens, je m'en vais
Comme dit si bien Verlaine au vent mauvais
Ô temps, suspends ton vol et garde moi libre
Pour vivre, c'est une question d'équilibre
Heureux qui comme Ulysse a fait un beau voyage
Souriant comme sourirait un enfant malade
Si je m'endors, c'est pour ne plus rêver.

#1061 / 23.8.2012
In Jeux Poétiques, receuil collectif Lespoetes.net

dimanche 10 août 2014

24 heures brut (2006)

Parce que le temps c'est précieux...


Chronos nous a donné à tous le même salaire:
24 heures brut à la journée.
Il faut profiter de chaque minute qui nous est donnée
On ne mesure jamais le prix des honoraires.

Le temps est d'autant plus précieux
Qu'il est soumis à des impôts,
Rare sont ceux qui en ont de trop:
Il faut gérer nos restes et les investir au mieux.

Placer deux heures sur un film sympathique,
Miser quelques minutes sur une belle chanson,
Quelques secondes dans des regards électriques
Suffisent parfois à rapporter du bonheur à foison.

A ces 24 heures il faut amputer le travail:
Une taxe qui compte pour un bon tiers
Cinq jours sur sept: La dîme est chère.
C'est le prix à payer pour de belles ripailles.
Impôt sur nos revenus, les chômeurs sont exonérés,
Les faire payer ce lourd tribut, ce serait exagéré,
Les retraités en sont aussi exemptés:
A tant le payer, ils l'ont bien mérité.

Comme si ça ne suffisait pas il y a aussi le sommeil:
La donation est libre mais pensez à la payer
Car le fisc de Morphée, difficile de le frauder.
Les transports, les aléas, les bouchons, les tracas,
Les rendez-vous, et la queue pour les en cas,
Les trains ratés et les journées mortes...

Comme en fin de compte il ne reste pour le plaisir,
Qu'un maigre solde de temps net et égoutté,
Ne le gaspillez pas à vous lamenter,
Offrez vous avec tous les instants, tous les désirs.

Car celui qui a dit que le temps c'est de l'argent à tort:
Dans les instant précieux, les instants délicieux,
Dans les moments de joie qui nous rendent si heureux,
Le temps passé, ce n'est pas de l'argent, c'est de l'or.


#476 - 7.12.2006

mardi 5 août 2014

Scarlett et Natalie (2014)

A la demande de Cycy :) à tes deux poupées préférées :)


Scarlett, Natalie
A deux dans mon lit
Scarlett, Natalie
L'histoire d'un rêve à l'agonie

Dure dure l'histoire des rêveries
Evanouies et pourtant si réelles
Lorsqu'elles s'étalent si belles
Ces starlettes, ces douces hégéries

Scarlett, Natalie
Elles dont je pourrais parler sur 1000 pieds
Pourtant déjà oubliées une fois sur mes pieds
Les rêves ne sont qu'un parfum déja parti
Lorsque la réalité sonne son réveil

Scarlett, Natalie
Me voilà au travail arrivé
Je ne vous vois plus, mais je ne vous ai pas oubliées
Il en est ainsi
Telle est la réalité et son mortel transfert
Terminé et aknowledgé, il ne me reste que ces vers
Quelques rimes en attendant que cette nuit peut-être
Que dans mon lit imaginaire vous puissiez renaître.

#1079 / 7.1.2014

samedi 2 août 2014

La couleur des sentiments (2012)


Parce que la vie se peint de 1.001 couleurs


A quoi bon peindre la vie
Au pinceau de mes écrits ?
J'écris mes textes à l'encre noire
Mais la plume corbeau est un pale miroir
Car avec la couleur de nos sentiments
Il faudrait l'écrire de but en blanc
La vie qui nous enchante ou nous écœure
Est un arc-en-ciel, une symphonie de couleurs.

Je vois rouge, je suis vert de colère
Lorsqu'au vu de mes vers vous me dites fleur bleue,
Mais je l'admets, je vois la vie en rose
Parce qu'elle me révolte autant qu'elle m'émeut
Et que son chant est celui d'un virtuose

La vie m'est un bouquet lumineux.
Je me veux un poète impressionniste,
La vie est belle, je suis un observateur plus qu'un artiste.

Tout n'est pas si bleu et parfois je ris jaune
Lorsque les horizons virent au gris
Mais je ne suis jamais aigri
Devant la palette qui s'offre à moi:
L'infinité des teintes de nos émois.

Il n'y a pas de couleurs plus chatoyantes
Que celles de nos sentiments
Blanc pureté, mer turquoise, bleu cobalt
Ambre et jade, rubis sérénade,
Quels que soient nos tourments
Rien n'est en noir et blanc
Et comme je ne vois que joie et espoir
Je ne risque pas de broyer du noir.

Je ne sais pas de quelle couleur est colorée mon monde
Mais son spectre rayonne de mille longueur d'ondes
C'est un arc-en-ciel étincelant
Qui éclaire mon visage à tout moment.
Tout en couleur, voilà ce que c'est de se sentir vivant.
Et vous, quelle est la couleur de vos sentiments ?

#1053 - 14.3.12
In "Slam - Sous le Porche" , receuil de la scène slam du même nom qui a lieu tous les 3e Mardis du mois à Auvers sur Oise

vendredi 1 août 2014

Place de l'Etoile (2006)


Parce que Paris sera toujours Paris...


L'Iris de Paris s'étend sur 12 faisceaux de lumière,
L'énergie de 2 millions d'âmes s'y concentre.
Etoile au centre de la ville des Lumières,
Lorsqu'elle brûle, c'est la Cité qu'on éventre.

C'est le prisme qui éclaire les Champs,
L’œil d'un cyclone qui rayonne sur le monde,
Une ballerine qui danse sur tous les chants
Que l'on entonne pour Lutèce la Blonde.

Lorsque la nuit tombe, elle brille encore
Comme une grande Dame, elle se vénère le soir,
Il se dessine un arc qui s'épanche sur les trottoirs.
Aux heures de gloire, ils sont des milliers à se baigner dans son or.

L'Etoile brillera toujours comme le feu
Du soldat 'inconnu" qui demeure en ces lieux.
C'est le soleil de Paris, toujours radieux
Qui s'épand jusqu'aux abysses d'une planète bleue.

Elle que l'on a déjà vu capturer l'Astre du jour,
De l'orchestre parisien, elle demeure la Diva,
Des millions de gens lui tournent autour,
Ce joyau de Paris a l'éclat d'une supernova.

423 - 19.4.6